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Bienvenue à vous tous ! Gourmands, gourmets ou tout simplement passionnés de cuisine comme moi !

Je me présente : je m'appelle Marie-Paule. Papo pour les intimes. D'où le titre du blog. Je vis à Rioz - pas de Janeiro ! - en Haute Saône, appelée plus communément par ses autochtones Haute Patate. Eh oui, on est au plus près du thème !

En bref, je suis passionnée de cuisine depuis toujours. Ma mère et ma grand-mère maternelle sont à l'origine de cette envie de vouloir perpétrer et transmettre les traditions familiales et régionales. Aussi loin que je me souvienne, j'aimais déjà, quand je me trouvais seule à la maison, prendre des livres de cuisine au hasard et essayer des recettes pour surprendre et surtout faire plaisir à ma famille.

Aujourd'hui, ça continue et c'est devenu comme une seconde nature, tellement j'en ai besoin : pour me vider la tête, me défouler et bien sûr, ravir ma petite famille et des invités, à l'occasion.

mercredi 4 janvier 2012

Galette Comtoise

Bon, c'est bientôt l'Epiphanie, donc l'occasion ou jamais de vous offrir la recette de ma galette comtoise.
Originaire de Montbéliard, je mangeais, dans mon enfance, la galette que tout le monde pratique : la frangipane. Mais depuis que j'ai découvert la Comtoise, à mon arrivée à Besançon (à base de pâte à choux), je la préfère car moins écoeurante, à mon goût ! Elle se déguste à toute heure et personnellement, je l'aime, tout particulièrement, le lendemain, au "p'tit déj".




Ingrédients :
  • Eau (145 ml)
  • Lait (145 ml)
  • 90 g de sucre ou 18 morceaux
  • 70 g de beurre
  • 150 g de farine ou 15 cas
  • 3 oeufs entiers + 1 blanc 
  • 2 cas de crème fraîche
  • 2 cas de fleur d'oranger

Préparation :
  1. Faire bouillir dans une casserole l'eau, le beurre et le sucre
  2. Ajouter la farine et bien remuer jusqu'à obtenir une boule qui se détache de la casserole (idem pâte à choux)
  3. Hors du feu et une fois la pâte refroidie (non fumante), intégrer petit à petit les oeufs que vous aurez battus au préalable en remuant bien à chaque fois  (ou au robot avec la feuille) 
  4. Ajouter la crème et la fleur d'oranger
La pâte doit être collante mais pas trop. Le plus difficile est de l'étaler de façon régulière sur une tôle aux bords plats (rectangle ou ronde), recouverte de papier sulfurisé.
Prendre le jaune d'oeuf restant et y ajouter un peu de lait (c'est le secret des pâtissiers). Mélanger et dorer la galette, au pinceau, de préférence.
Utiliser une fourchette pour tracer les jolies décorations, façon boulangerie.
Il ne vous reste plus qu'à mettre au four,  préchauffé à 200° pour 30 mm environ.

Cette galette est naturellement fine mais rien ne vous empêche de doubler les doses si vous recherchez de la matière en bouche.
Chez nous, c'est un grand classique qui n'attend pas la date prévue. Mes filles me la demande pour différentes occasions, tout au long de l'année. Je l'ai présenté plusieurs fois découper aux emporte-pièces de Noël pour un café du matin avec mes collègues de bureau ; ça a fait de l'effet !

Je vous souhaite une bonne dégustation !







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